Ecarts pmu

Gagner au turf
Les écarts pmu sont le premier problème à résoudre pour espérer gagner aux courses hippiques. Il s'agit du problème No.1 pour un objectif de bénéfices réguliers, qu'il s'agisse d'un pronostic à masse égale ou utilisant une montante ou toute forme de variation des mises. Evidemment l'utilisateur d'une martingale classique comme la plupart des montantes pmu (en +1, en x2, …) voient ce problème grandement multiplié.


En finir avec les grands écarts

Methode pmu

L'ironie c'est que l'objectif initial des martingales classiques ou montantes pmu simples est justement de résorber les pertes précédentes engendrées par une mauvaise suite. Oui, mais seulement pour les pertes issues des petites suites de pertes ! Autrement dit les martingales classiques ne sont capables de couvrir que les petits écarts pmu seulement. Le capital de départ est vite avalé.

Or il est évident pour tout turfiste averti que toute sélection, tout pronostic, connaissent parfois de grands écarts pmu, une grande suite sans gains. A titre d'exemple, un très célèbre pronostiqueur officiant pour un non-moins célèbre journal turfiste, enregistre un écart maximal de 22. C'est catastrophique, 22 pronostics perdants à la suite ! Aucun porte-monnaie ne peut se permettre de subir une telle perte, même s'il s'agit d'une montante simple en +1.



Ce genre de cas de figure, tout ce qui est extrême comme cela, est rare, mais vient pourtant détruire une longue accumulation de bénéfices. Il est donc indispensable de prendre en compte ces extrêmes lors de l'élaboration de toute methode turf visant à gagner aux courses hippiques.

Tant qu'on n'aura pas une méthode turf pour éliminer ce phénomène des grands écarts, il ne servira à rien de disposer du meilleur des pronostics.


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Arrêt au premier gagnant


Le second mauvais principe de base des turfistes cherchant à appliquer une montante pmu pour tenter de gagner aux courses hippiques, qu'il ne faut pas hésiter à appeler idiotie cette fois, consiste à s'arrêter au premier gagnant.

Le résultat : confronté à une suite catastrophique, entraînant de grosses pertes d'argent, la sélection est enfin gagnante, et là le parieur s'arrête ! Aberration ! Il reprend ensuite le jour suivant par exemple, ou la réunion suivante, ou dès la prochaine course avec un retour à la mise initiale.

Ce joueur ne vit donc que de défaites en défaites, et parfois un bon coup arrive et récupère, éventuellement, son capital, si la sélection est performante. Ce climat de jeu est peu plaisant, et les bénéfices, s'il y a, sont bien maigres.




A contre-courant


L'opposé de cette attitude de jeu comporte deux volets, et il en résulte un plus grand pourcentage de victoires, donc un meilleur climat.


D'abord, poser une limite à l'envolée des mises, pour s'arrêter lorsqu'une mauvaise suite survient. Si la prochaine course aurait été une victoire, juste après la décision d'arrêt, tant pis ! Les ecarts pmu ne sont donc plus problématiques.

Ensuite, considérer une victoire comme signe que d'autres gains vont suivre, afin de profiter des bonnes séries. Pour agir au mieux, il faut repérer des signaux. Quels sont les évènements les plus enclins à être suivis de victoire ? Une observation minutieuse d'un vaste échantillon est nécessaire, en dégageant un grand nombre de données statistiques.

Une faible amélioration du pourcentage de victoires est toujours mieux que de jouer toutes les courses sans méthode turf. Il faut ensuite combiner toutes ces petites améliorations de ce pourcentage, pour obtenir un véritable signal de départ pour ensuite appliquer une montante appropriée, elle-même optimisée selon ces données statistiques.